Comment vaincre la peur qui empêche votre évolution

en Développement personnel

Vaincre la peurJe pense que la peur prend trop de place dans notre vie. Beaucoup disent qu’ils ne passent pas à l’action parce qu’ils ont peur ou que la peur les retient. C’est ridicule, de quoi ont-ils peur ? Nous vivons dans un monde moderne où  les peurs impulsives, celles qui sont liées à une menace physique et naturelle, n’existent plus.

Nous ne sommes pas pourchassés par des bêtes sauvages qui essaieraient de nous attaquer. La plupart des craintes que nous avons sont des pensées contemplatives négatives que nous ressassons et auxquelles nous associons beaucoup de douleur. Comme si la peur était quelque chose d’inconnu et d’effrayant, alors que la plupart du temps elle ne l’est pas.

La plupart de nos peurs sont liées à une mauvaise gestion de nos facultés mentales. Ce n’est pas une impulsion physique générée par notre cerveau qui nous dit de nous battre ou de fuir mais tout le monde veut utiliser cela comme une excuse.

Certains psychologues disent que la peur est quelque chose d’impulsif que les gens ne peuvent pas comprendre ou dont ils ne peuvent être conscients. Ce sont les peurs inconscientes qui nous anéantissent. Les neurosciences ont montré que la plupart d’entre nous ont des aptitudes beaucoup plus importantes que ce que nous pensons. Si vous comprenez ce qu’est la peur et c’est généralement un processus contemplatif, vous pouvez la surmonter.

Qu’est-ce que la peur?

De quoi a-t-on peur? Quelle est cette chose que nous craignons et qui va apporter tant de douleur dans nos vies? Avez-vous déjà réfléchi à cela? Quand vous comprenez mieux l’objet de vos craintes, elles deviennent moins terrifiantes. Une fois que vous en connaissez et maitrisez les causes, vous pouvez développer des compétences autour d’elles et une fois que vous avez gagné en compétence, vous développez votre confiance.

On parle souvent en psychologie de la boucle compétence/confiance: plus vous maîtrisez un sujet, plus vous devenez confiant dans ce domaine. C’est la même chose qui se produit avec tout ce qui peut générer impulsivement une certaine crainte en vous.

Une fois que vous comprenez ce que c’est, vous pouvez mieux le traiter. Ce sont essentiellement trois types de douleur, trois domaines où nous pourrions rencontrer la douleur dans nos vies. Une fois que nous comprenons ça, nous pouvons détourner notre esprit et arrêter d’être frustrés ou bloqués par la peur.

Les trois craintes

La première crainte est la peur de perdre quelque chose.

Si vous changez de vie ou  vous faites quelque chose de nouveau, vous laisserez tomber une partie de votre vie et c’est pour cela que vous ne voulez pas le faire. Vous avez peur d’essayer parce que vous pourriez perdre quelque chose que vous aimez, que vous appréciez ou même que vous adorez. Si vous faites ce grand changement dans votre vie, vous  pourriez perdre votre emploi, compromettre votre relation avec votre  conjoint, rompre les liens  avec vos enfants, abandonner une passion ou un avantage.

Si, par exemple, vous voulez démarrer votre propre entreprise, tout le monde viendra vous prévenir que ce sera trop risqué et vous fera peur : « Tu ne veux pas quitter ton boulot et perdre ton salaire et la sécurité de l’emploi dans lequel tu es ». Et plus vous réfléchissez à la situation, plus vous serez anxieux et effrayé de perdre des garanties que votre travail vous donne.

Vous perdrez le virement mensuel dont tout le monde rêve. Vous perdrez ce plan de carrière si prédictible. Vous perdrez tout cet environnement de managers qui vous guident et qui vous consultent sur des sujets de haut-vol. Vous laisserez vos collègues. Vous perdrez certains des aspects du travail que vous aimez. Vous perdrez ces déjeuners si agréables à la cafétéria. Alors, vous pensez à tout ce que vous allez perdre et cela vous bloque dans votre décision de changer.

C’est la même chose avec les gens qui veulent arrêter de fumer ou qui essayent un régime. Ils sont effrayés de perdre cette pause fumeur qui leur donne la paix, le confort et le calme que confèrent ces longues inspirations, même s’ils inspirent ce qui peut les tuer. Ils sont effrayés de changer de régime car ils ne pourront plus goûter à ce qu’ils aiment le plus. Alors ils ne changent pas. C’est ce que les hommes craignent, ils craignent de perdre quelque chose.

Donc la réorientation de nos vies nécessite de se concentrer sur ce que nous gagnons, pas sur ce que nous perdons. Je peux effectivement perdre la sécurité sur le court-terme mais je peux gagner la liberté sur le long terme. Je peux perdre ce guide et ces personnes qui me permettront de me développer dans cette organisation mais d’un autre côté, je pourrai grandir plus vite grâce à de nouveaux challenges.

Je franchirai moi-même les obstacles et plus vite. Et vous savez quoi, je vais perdre ces 40 000 Euros, oui, mais je gagnerai 100 000 euros dans ma propre entreprise et je vais me concentrer là-dessus.

Un esprit craintif commence toujours par se demander : « et si jamais… ? » Cette question est toujours suivie d’une affirmation négative. « Et si cet événement catastrophique se produisait ? » On génère et on ressasse en nous ces craintes qui font que notre esprit est bloqué face au changement. Mais quand vous commencez à maitriser cette peur de manquer, que vous commencez à vous concentrer sur les gains et avantages du changement, vous avez franchi un obstacle.

La deuxième crainte est la peur du processus.

Le changement va être difficile. Le processus de changement en lui-même est compliqué, même si on met de côté ce qu’on va perdre en faisant quelque chose de nouveau. C’est dur. Quand vous pensez à démarrer votre propre entreprise, vous êtes terrifié. Vous savez que ce sera dur et il y a beaucoup de choses que vous ne savez pas faire.

Vous manquez  de compétences dans certains domaines. Vous ne savez pas comment ça va se passer. Vous devrez travailler 24 h sur 24, 7 jours sur 7 pour démarrer cette entreprise. Vous allez travailler très dur et peut-être sans aucun support. Le processus est effrayant et finalement vous ne changez pas.

C’est la même chose pour les personnes qui veulent arrêter de fumer. Elles ne pensent pas à la liberté occasionnée par le fait d’arrêter, ni au fait d’avoir une vie plus saine. Elles ne pensent pas au bien-être que respirer à fond et  monter les escaliers peut procurer. Elles pensent plus au processus d’arrêt d’une addiction, aux privations,  à la frustration, aux tremblements possibles, à la dépendance à la nicotine et à comment faire face à tout ça.

La personne qui commence un nouveau régime expérimente les mêmes craintes. La douleur du processus. Elle pense qu’elle va devoir faire ses courses ailleurs pour acheter de la nourriture plus saine, qu’elle va devoir apprendre à cuisiner différemment et faire des d’exercices. Qu’est-ce que ça va être dur ! Ses pensées se concentrent sur les difficultés du processus.

Contrôler sa vie, c’est apprendre à voir le changement comme un jeu, apprendre que l’on peut entrer joyeusement dans de nouveaux challenges, devenir le joyeux maître de sa vie, comprendre que le processus peut être un défi mais que les défis sont plutôt bénéfiques.

Les défis vont servir à nous développer et à atteindre notre maximum. Les défis vont nous apprendre à vivre notre vie pleinement, où le processus est engageant, marrant, excitant et nouveau. Cela peut apporter de la variété et un côté épicé dans nos vies, et nous pouvons maintenant attendre avec impatience le processus du changement. Quand on arrive à changer notre état d’esprit dans cette direction, on commence à changer plus souvent.

La troisième crainte est la peur du résultat.

Les gens ont peur de tout ce qu’ils vont perdre dans le changement. Que va-t-il se passer si tout ce travail difficile et effrayant amène à un résultat qui n’est pas meilleur que ce qu’ils avaient avant, si l’herbe n’est pas plus verte ?

Si on reste coincé dans ces pensées, on ne change jamais. Contrôler sa vie, c’est mettre de côté les résultats négatifs et rêver, visualiser, concentrer son attention sur les choses merveilleuses, puissantes, satisfaisantes, enivrantes, joyeuses qui nous attendent de l’autre côté de la barrière. Les choses qui deviendront magnifiques et exceptionnelles si l’on change de vie.

Si j’arrête de fumer, je vais à nouveau me sentir bien. Je ne vais plus être dépendant de quelque chose qui tue des millions de personnes et qui nourrit ces sociétés qui fabriquent des poisons. Je ne vais plus garder cette maladie dans mon corps et dans ma famille. Je ne vais plus faire supporter aux autres ma dépendance. Je vais me sentir en bonne santé, heureux, et à nouveau débordant d’énergie.

Quand je commence ce régime, je vais goûter plein de nouvelles saveurs que je n’ai pas eu la chance de connaître depuis bien longtemps. Je vais à nouveau pouvoir sortir en public. Je vais enfin pouvoir sortir faire des courses pour acheter des vêtements qui me mettent en valeur. Si vous commencez à penser à tout le positif que vous pourrez tirer du changement, vous réorientez votre esprit et reprenez le contrôle.

Plus vous vous concentrez sur la douleur créée par la peur de perdre quelque chose, la peur du processus de changement, la peur du résultat, plus votre esprit vous dit non, n’y va pas, ne fais pas ça. Nous sommes dotés d’un incroyable don qui nous conduit à éviter la douleur et quand nous le réalisons, nous devons arrêter de souffrir de la douleur qui pourrait être engendrée par une nouvelle expérience qui pourrait améliorer nos vies.

Vous et moi savons ce qui pourrait changer nos vies, pourquoi ne le faisons-nous pas ? Parce que quelque part, nous avons probablement associé au changement toutes les souffrances liées à la peur de tout perdre, la peur du changement et la peur du résultat. Donc aujourd’hui doit être un grand jour pour vous demander ce que vous voulez vraiment dans la vie. Pourquoi n’évoluez-vous pas plus vite?

Quand vous étudiez la question, vous découvrirez ces souffrances et ces peurs. Vous pouvez changer d’état d’esprit et vous concentrer sur les gains, les joies, les résultats positifs. Quand vous aurez changé d’état d’esprit, vous prendrez joyeusement le contrôle, avancerez plus loin dans vos vies et découvrirez une vie  sereine et épanouie.

Quelles sont vos peurs ? Etes-vous coincé à cause d’elles ? Empêchent-elles vous d’avancer ? Si vous pouviez surmonter vos peurs, qu’est-ce que cela changerait dans votre vie ? Partagez vos pensées avec nous dans les commentaires…

 

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{ 25 comments… laissez un commentaire }
  • Mary Mar 25, 2016

    Votre article sur la peur fait écho à une période de ma vie, où j’étais habitée par des peurs, qui généraient du doute, de l’hésitation et me freinaient dans les actions à mettre en œuvre et des décisions à prendre. Aujourd’hui je suis plus confiante, plus sûre de moi, je me sens à ma place et à l’aise dans les relations aux autres. J’ai commencé à identifier les pensées et émotions qui m’habitent, j’ai appris ensuite à les nommer et à identifier les émotions des autres, grâce à La méditation et l’EFT. Résultat je suis aujourd’hui à l’aise pour affirmer mon point de vue et la vie me semble plus légère. Le regard que je porte sur les situations est plus positif et j’apprends chaque jour à accepter les évènements « désagréables » qui s’offrent à moi. Avec le recul je m’aperçois que ceux sont des étapes à franchir pour évoluer.
    Vos articles sont aussi des sources d’inspiration vers lesquels je me tourne régulièrement pour entretenir un mode de pensées positif.
    Merci TSVETI

    Reply
    • David Mar 28, 2016

      Chère Mary

      j’ai suivi vos commentaire sur d’autres fils, et je comprends très bien ce que vous ressentez. Je vous invite, pour continuer vos beaux progrès, à vous dire des tas de choses comme : les gens sont bien, les gens m’aiment …. même dans des moments où ça n’est pas vraiment le moment.
      Nous sommes parfois prisonniers de nos habitudes passées : comme se plaindre, se lamenter, geindre, chercher un bouc-émissaire quand nous sommes le seul responsable de notre situation, jalouser les gens
      Tous ces sentiments détruisent l’homme de l’intérieur, et puissamment. Analysons nos sentiments les plus profonds : voyons si nous éprouvons de la jalousie, et changeons cette pensée en pensée d’altruisme, d’amour de souhaits d’abondances , de richesses. Chacun de ces mots a un fort effet dans notre conscient et imprime positivement notre subconscient.
      La méditation, que vous semblez très bien pratiquer, nous aidera tous à lever le couvercle de pensées enfouies, en aimant l’être humain inconditionnellement, on installera de nouvelles pensées.
      Toutes les pensées d’opposition, de négation, de choc, sont contraires à la positivité. Dans une vidéo le moine Roland Rech, dit « accepter ce qui est » durant la méditation. Aimer inconditionnellement, envoyer nos pensées positives, nos ondes positives, accepter que ceux qui nous entourent font des choses qui sont contraires à ce pour quoi notre subconscient a été formaté, c’est aussi ça , je pense , « accepter ce qui est ».
      Inutile de se débattre , quand il y a présence de pensées mauvaises, habitantes, regardons les , regardons nous avec amour, avec respect, comme compassion, traitons-nous comme nous aimerions que les autres nous traitent, avec empathie, et délicatesse.
      Oui, pensez à vous-même avant tout, c’est la meilleur façon d’aider l’humanité toute entière.
      Comme l’a dit Tsveti dans un commentaire, la personne la plus personne pour vous, c’est vous. Tellement vrai

      Reply
    • Tsveti Mar 28, 2016

      Merci d’avoir partagé votre expérience avec nous Mary. Cela aide les gens de voir comment les autres s’en sortent et évoluent, de voir que c’est possible…
      La méditation et l’EFT sont des techniques puissantes qui nous rendent plus conscients et nous libèrent de nos pensées lourdes.

      Reply
  • Hassan. Mar 25, 2016

    bonjour madame tsveti ,je vous remercie beaucoup de votre conseils qui nous aident a évoluer. Parmi ces conseils ,comment vaincre la peur qui. a une. Influence sur notre volanté ,notre liberté et notre. Confiance en soi.Svp, est ce que vous pouvez me dire comment vaincre la peur de l avion ? parce que moi personnellement. j en ai beaucoup peur.

    Merci. Infiniment

    Reply
  • Roland Leblanc Mar 25, 2016

    Le rire et la peur et la pitié

    Par le rire je vaincs mes peurs et je me sens supérieur
    Par pitié, j’arrête de rire des autres par compassion
    Je concilie mon besoin d’être égocentrique
    et celui d’être écocentrique

    Je vous recommande un bon livre qui date , mais qui est très révélateur : Notes sur le rire , écrit par Marcel Pagnol. Il est question de peurs et de pitié…
    Bonne lecture ; note: j’ai aimé votre article et ce qui est dans le livre que je suggère n’est qu’un complément!
    Bonne journée
    Roland

    Reply
    • Tsveti Mar 28, 2016

      Roland, merci pour le livre recommandé!

      Le rire attire la joie qui libère de la négativité.

      -Rhonda Byrne

      Reply
  • David Mar 28, 2016

    Bonjour,

    pour ma part, je pense à une conférence donnée par le Rabbin Haïm Yossef Sitruk, où il analysait la peur assez profondément, en disant que finalement, toutes nos peurs sont liées à la peur de la mort. Les événements de l’actualité, doivent nous pousser à ne plus du tout écouter, ou presque plus écouter les informations , qui deviennent un véritable outil de génération de peur. ne plus lire la presse est très important pour avancer.
    Pour ce qui me concerne, je me rends à l’évidence que dès que je regarde trop les informations, je sens les émotions négatives arriver.
    De ce point de vue, les traditions spirituelles venues de l’Est comme la méditation, le yoga , lEFT, la Qi-Qong, sont des outils qui aident énormément.
    La bonne méthode Coué continue à marcher tout aussi bien que dans le passé. Se répéter des tas de choses positives, peut paraître un contresens à quelqu’un qui a déjà un bon moral, et c’est une bouée de sauvetage.
    je renvoie vraiment à tous les travaux de Emile Coué, ainsi qu’à tous ses corollaires plus modernes
    J’avais lu sur un blog, que les événements de l’actu début 2015, avaient fait grimper la consommation d’anxiolytiques en quelques jours seulement.
    Comme dit , le spécialiste du développement personnel, Bruno Lallement, pour retrouver de l’espace intérieur, respectons la nature, ne jetons pas nos déchets dans la nature, respectons-nous nous-mêmes car nous sommes la nature.
    Même si un moment on sent les émotions négatives remonter, il dit de s’allonger, d’accepter de laisser les émotions remonter, puis faire la méditation après.
    Aujourd’hui, il paraît enfantin de dire des paroles comme « le monde est beau ». Pourtant , le fait de dire le contraire, ne change rien, apporte amertume et frustration. Il faut donc vraiment faire attention à toutes ces tournures d’esprit, et les regarder à la loupe, corriger chacune des pensées conscientes.
    Quand on a connu l’angoisse, la peur, et tous ses dérivées, et que l’on va de mieux en mieux, jour après jour, on se rend compte à quel point l’être humain est dépendant de ses pensées. La pensée est très puissante. Donc autant changer la négativité. Albert Einstein disait que la pensée est plus puissante que la machine ou l’énergie atomique, d’après une citation que j’ai trouvée
    Dans notre monde moderne, plus nous serons des gens à penser la paix, l’amour, plus le monde aura des chances de rester en paix

    Reply
    • Tsveti Mar 29, 2016

      Bonjour David,
      Merci pour votre partage et vos pensées profondes!
      Je suis d’accord qu’on devrait être vigilants et filtrer les informations qu’on reçoit. Les actualités négatives provoquent des émotions négatives et augmentent la sensation de peur et d’angoisse. On pourrait regarder ou lire quelque chose de motivant, inspirant ou amusant qui va nous faire avancer ou nous détendre…
      Oui, nos pensées et nos mots influencent profondément notre vie et créent notre réalité. La bonne nouvelle est qu’on peut prendre le contrôle et les diriger vers la direction qu’on veut.
      Souvent nous ne nous rendons pas compte du pouvoir que nous avons sur notre vie. Nous pensons que quelqu’un ou quelque chose d’autre est responsable de nos malheurs. Ce qui nous aidera à maîtriser nos pensées et émotions c’est d’être plus conscients et de faire attention à tout ce qui se passe à l’intérieur de nous, de mieux nous connaitre.
      Oui, « le monde est beau »… pour ceux qui le remarquent:)

      Reply
      • David Mar 29, 2016

        Chère Tsveti

        merci pour le site que vous avez fait. Vous avez fait un super travail. je cherche des sites comme le vôtre ainsi que des sites où nous pourrions voir des informations uniquement positives. Il y en a, donc autant se délecter avec ce qu’il y a. Ca change beaucoup.
        Un truc que je peux conseiller, c’est quand vous fermez ou ouvrez votre boîte email , vous êtes parfois dirigés vers une page d’ « informations ».
        Veillez à ne surtout pas la regarder, quitte à opter pour une boîte email, qui ne vous redirige pas vers une page d’ « informations « , qui sapent le moral.
        Personnellement, je suis arrivé sur ce site, car depuis de nombreuses années, je me suis laissé à des attitudes négatives, de type se plaindre d’une situation désagréable, je ne savais que l’on a le choix d’accepter ou non une idée, et que l’acceptation ou non l’idée fera qu’elle s’incrustera ou non dans notre subconscient.
        Et les événements accumulés m’ont montré que non seulement mes attitudes devant ce que je peux percevoir ne sont toujours les plus adaptés, mais en plus, le fait de se plaindre, augmente l’état d’anxiété, c’est-à-dire médicalement parlant.
        Il me sont arrivés tout un tas de trucs (si je devais les redire, j’emploierai des termes négatifs, donc j’évite), et maintenant, je me dis que j’aurais dû les prendre avec philosophie , beaucoup de calme et de détente, car le fait de les prendre négativement a crée beaucoup d’anxiété, et une attaque de panique qui m’a conduit à l’hôpital.
        Le fait de se plaindre ne change souvent rien à la situation.
        Et quand on a été victime de ce que l’on perçoit comme étant une injustice, alors le fait de se plaindre ne résoud souvent pas l’injustice. Cela ajoute juste de la frustration, et ça peut dégénérer. Donc, on l’accepte au travers d’une méditation, cette fameuse phrase « accepter ce qui est » , est l’objet d’une vie complète à mon avis, c’est la porte ouverte à la tolérance inconditionnelle, l’acceptation de tout ce qui arrive, l’acceptation que nous ne pouvons pas contrôler tout, et que une fois qu’on a fourni notre effort, inutile de vouloir chercher à encore en contrôler le résultat. Cela amène la réflexion profonde du libre-arbitre et du destin. je pense qu’il est négatif de penser que nous serions les objets du destin, mais il y aussi le revers de la médaille, à savoir vouloir contrôler un événement de sa naissance à sa fin : par exemple , vous postulez pour un emploi, vous envoyez votre cv et lettre de motiv. Après, cela ne dépend plus de nous. Et c’est alors que la sagesse devrait faire que nous fassions confiance à la vie, à l’univers, pour toute la suite. A mon avis, toute la subtilité est d’arriver à s’arrêter assez rapidement, après avoir fourni son effort. Et aussi, dans tous les domaines de la vie : sentimental par exemple …

        Certaines vidéos que j’ai vues sur internet, nous disent que si nous arrivons à éprouver de la gratitude pour toutes ces situations, cela nous renforcera. Très facile à dire.J’imagine qu’avec de l’entraînement, c’est possible.
        Le fait d’écrire ici, c’est une manière de créer des réflexes de pensées positives, donc c’est bien aussi 🙂
        En fait, chacune de nos attitude met une marque sur le subconscient, qu’elle soit bonne ou mauvaise, et nous revient ensuite comme un boomerang.
        Du coup, puisque j’écris maintenant (ici et maintenant :)) ), j’essaie aussi de penser les meilleurs choses possibles afin de récupérer les bons effets du boomerang.

        🙂

      • Mary Mar 29, 2016

        Bonjour à tous,
        Depuis quelques jours je prends plaisir à vous lire et me nourris de vos commentaires portés sur l’espoir qu’il est possible de rayonner du positif autour de soi. Comme vous David je m’efforce de porter un regard bienveillant sur les évènements que la vie m’envoie. Les accepter demande encore un effort mais je m’aperçois qu’il est possible de se détacher de ce côté désagréable qu’ils peuvent avoir dans un premier temps, pour y voir une possibilité de progresser. Se plaindre ou critiquer ne fait effectivement pas avancer, mais conduit à s’enliser dans une vision négative que l’on entretient avec des pensées et émotions négatives. Ce midi par exemple, j’ai déjeuné avec une ancienne collègue qui rapidement a dirigé la conversation sur les évènements négatifs entretenus par les médias, il y avait pourtant tellement de choses positives à aborder : le festival de son village, les dernières vacances, les « carpes amour » de mon étang, ……. Et là j’ai réalisé que nos paroles ont le pouvoir d’influer sur l’humeur d’autrui. Nous nous sommes quittées avec le sourire. Alors oui Roland : « Dans notre monde moderne, plus nous serons de gens à penser la paix, l’amour, plus le monde aura des chances de rester en paix ».
        Belle soirée à tous.
        Mary

      • David Mar 29, 2016

        Chère Mary, et bonjour à tous

        vous avez dit vrai. C’est très intéressant la situation que vous venez d’évoquer. J’étais moi-même chez un ami ce week-end et tout comme vous, je me suis retenu de faire diverger la conversation vers des sujets négatifs qu’il est inutile de nommer, et la personne n’a pas pu s’empêcher de dire après quelques minutes « ah tu as vu l’actualité …. « , et ça peut très rapidement mettre une mauvaise ambiance qui peut plomber le moral.
        On ne devrait pas donner l’autorisation aux gens de nous manipuler ainsi.
        Il faut se protéger de cela en se disant à soi-même des paroles positives en attendant que la personne comprenne d’elle-même qu’il serait plus intelligent, pour le bien-être de tout le monde, de changer de sujet.
        C’est vrai que beaucoup ont l’obsession de parler de l’actualité, car parler de jardinage ou autre demande une certaine culture :))
        Pourtant, c’est nécessaire ; quand nous sommes avec ces gens, nous pouvons leur dire que la vie est belle, que le monde est beau, que le ciel est beau, que nous sommes en bonne santé, que nous sommes rayonnants , que nous avons la chance d’être en vie, de ne pas avoir des maladies beaucoup plus graves ;…..etc ….etc ….. etc ……
        Il faut se protéger de ces gens car la personne la plus importante pour soi-même, c’est soi-même.

  • Roland Leblanc Mar 28, 2016

    Au sujet de : « Dans notre monde moderne, plus nous serons des gens à penser la paix, l’amour, plus le monde aura des chances de rester en paix ».
    Je dis oui, et je viens de penser à compléter tout ce que tu as dit avec : « Il est urgent de prendre le temps et ainsi se retrouver à l’intérieur de soi pour enfin vivre au présent la Réalité du moment présent.
    Et la peur peut se dissiper en restant présent au présent qui parait moins terrible que le passé ou l’anticipation d’un futur incertain.

    Reply
    • David Mar 29, 2016

      Merci Roland Leblanc pour ton commentaire.

      Reply
  • Tsveti Mar 29, 2016

    Merci à vous tous pour vos réflexions, vos recommandations, vos conseils et votre temps! Je suis heureuse de voir cet échange, c’est tellement agréable de discuter avec des gens qui ont la même vision. Ressentez-vous l’énergie positive que cette discussion crée? Moi, oui!

    Reply
    • David Mar 31, 2016

      Chère Tsveti,

      tu as raison. Un autre argument qui montre que c’est important de rester positif pour éviter les situations négatifs au niveau économique : au lieu de s’abreuver des « informations » qui rendent négatifs sur le chômage, …., il faut surtout travailler sur ses peurs, car si les gens ont peur, ils ont tendance à se réfugier dans des idées qui amènent ensuite des résultats encore plus négatifs.

      Reply
  • Sandrine O. Avr 2, 2016

    J’adore votre article.
    Je me suis complètement reconnue.
    Les changements peuvent être très bénéfiques , j’en suis convaincue !
    Je pense que la routine et la monotonie sont les pires choses qui puissent s’installer dans l’esprit.

    Reply
  • Mary Avr 7, 2016

    Bonsoir à tous,
    Cette semaine j’ai vu la peur sur des visages, je l’ai entendue dans la voix de responsables, je l’ai même perçue dans l’atmosphère mortifère d’une réunion professionnelle ce matin. C’est surprenant de voire à quel point une situation d’évaluation réalisée à l’échelle d’une institution peut fragiliser des dirigeants.
    Dire que cette peur m’a épargnée, serait mentir. Néanmoins, elle m’a permis de mesurer mes capacités à m’en extraire et à ne pas me laisser emporter par celle des autres. J’ai pu en prendre conscience et observer son impact sur les autres.
    Plutôt que de ruminer des craintes (est ce que je suis à la hauteur, est ce que ça va bien se passer, qu’est ce qu’on va penser de moi si l’expert pointe des failles……) j’ai préféré concentrer l’énergie sur ce défis, y voir une possibilité d’apporter des améliorations, de voire le positif de la situation.
    Cette semaine j’ai relu vos commentaires, ce qui m’a aidée à me focaliser sur la part de réalité qui m’intéresse. Tsveti, vous avez écrit :  » nos pensées et nos mots influencent profondément notre vie et créent notre réalité. La bonne nouvelle est qu’on peut prendre le contrôle et les diriger vers la direction qu’on veut ».
    J’ai, grâce à tous vos commentaires positifs, pu traverser cette épreuve d’évaluation en toute confiance, avec l’esprit clair, ce qui m’a permis de trouver les réponses justes. Au final j’ai renforcé ma confiance en moi. Le stress que j’ai ressenti a été suffisant pour être moteur, pour déployer mon énergie à bon escient, sans être un frein. L’acceptation dont vous parliez David, aide à traverser les situations vécues, sans souffrance, sans accuser les autres, sans leur laisser du pouvoir sur nos émotions et sans entrainer notre entourage dans la spirale de la peur.
    Bonne soirée sereine à tous
    Mary

    Reply
  • David Avr 9, 2016

    Chère lecteurs

    @Mary, je suis impressionné par votre commentaire. J’ai envie d’atteindre ces progrès et avoir ce recul. Que cela est merveilleux. je suis très content pour vous, chère Mary, que vous preniez du recul dans cette situation. Et je souhaite que ça avance encore.

    Je n’ai jamais vraiment parlé plus de moi, car ça fait peu de temps que j’écris ici.
    Moi, je suis au chômage, et ça fait bien longtemps, que je n’ai pas eu l’occasion d’être en entreprise. J’ai la trentaine, et j’ai parfois l’impression que ne pas avoir trouvé une compagne pour me marier et vivre avec elle, m’angoisse encore plus que de trouver un travail.
    En fait, j’ai comme une angoisse de mort, du type, que j’aimerais bien avoir vécu une vie de couple avant de partir.
    En fait, parfois, rien que quand je suis dans un endroit avec beaucoup de personnes, ou du bruit, si je ne suis pas avec quelqu’un que j’apprécie, ça m’est arrivé de ressentir des symptômes de l’angoisse.
    je fais alors tout pour penser à des choses positives.
    Mais je vois que malgré cela, je suis un loin de mon niveau d’assurance et de confiance en moi que j’avais avant.
    J’aimerais bien m’éloigner de chez moi, pour suivre une formation, mais l’anxiété et surtout ses symptômes sont encore là.
    je consulte un psy qui n’est pas spécialisé en thérapie comportementale, il n’y en a pas à côté de chez moi.
    J’ai vraiment envie de pouvoir construire ma vie, avec des pensées en permanence positives.
    En fait, les symptômes qui m’handicapent et qui sont clairement liés à l’angoisse et l’anxiété sont les étourdissements, comme une sensation de malaise qui approche parfois, avec le regard qui se perd un peu, et aussi les oreilles qui sifflent (aigu , hyperacousie).

    Je ne me plains pas , car l’expérience m’a prouvé que ça ne fait qu’envenimer les choses , mais j’aimerais bien savoir si certains ont déjà ressenti précisément , dans les moments d’angoisse, d’anxiété, cette impression d’étourdissements, comme si ils vont faire un malaise vagal.

    Quand j’avais 10 ans de moins, je me rends compte que j’avais déjà beaucoup d’anxiété, mais je ne mettais ce terme dessus, par contre, ça passait plus facilement

    Le côté positif de l’attaque de panique que j’ai eu l’année dernière, c’est que je me suis rendu à l’évidence, que j’avais un gros problème d’anxiété depuis au moins un an, qui diminuait en intensité au gré des bons événements de la vie, mais qui en fait était encore plus ancien, et dont l’intensité globale fluctuait en fonction des événements de la vie.

    C’est un commentaire long car j’ai envie, sans rentrer dans la plainte , de parler de mon cas personnel, afin de recevoir aussi vos conseils sur les différents points que j’ai abordés, car mine de rien, je suis encore assez bloqué par cette affaire pour le moment.

    Pour terminer, parce-que la changer de pensée, aide à façonner une nouvelle réalité, je vais me dire que la vie est belle, les gens m’aiment, l’univers prend soin de moi.

    Merci pour vos retours

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    • Roland Leblanc Avr 16, 2016

      Cher David,
      Je suis plus âgé que vous et je me permets donc de parler de moi avec en tête d’essayer de vous suggérer ce qui a réussi pour moi.
      J’étais dans une situation de mal=être qui ressemble à ce que vous décrivez; je réalise que nous sommes uniques et je ne crois pas avoir toutes les solutions.
      Je me risque néanmoins à vous suggérer d’écrire pendant 91 ou 92 jours pendant une heure et demie; écrire tout ce qui est et qui se présente à toi ou à vous ; aucune censure et aucun effort d’inventer ou de créer un texte de qualité. Juste être là pour soi pendant ce temps pour écrire ce qui est.
      Si , il n’y a rien , tu écris : il n’y a rien et ainsi de suite pour le temps que tu consacres à cet exercixse.
      Tu évites de te relire , même après que tu as fini tes 91 ou 92 jours(3 mois) ; fu pourras te relire si tu le désires après 25 jours…
      C’est basé sur le livre : Libérez sa créativité voir lien:
      http://www.creativite.net/julia-cameron/
      J’ai fait celà suite à la recommandation de ma cousine et ça m’a aidé…
      Je te souhaite bon succès
      Bonne journée
      Roland

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  • Mary Avr 15, 2016

    Voici ce que m’évoque votre écrit David,
    Pourquoi ne pas commencer par chercher un poste dans votre domaine de formation pour vous confronter à nouveau au monde du travail, au groupe, plutôt que vous lancez dans l’inconnu (nouvelle formation, nouveau lieu de vie) qui pourraient générer encore plus d’angoisses. Des petits progrès même infimes valent mieux que des projets qui restent à l’état de rêves, et nous enlisent dans la déception.
    Lorsqu’on parvient à dépasser nos petites difficultés pas à pas, doucement mais surement, cela contribue à augmenter notre confiance en nous, et c’est à mon sens ce qui nous garantit contre toutes les peurs. Et plus on a confiance plus on arrive à effacer de notre vie les éléments indésirables, qui nous paraissaient dans un premier temps insurmontables.
    La vie ne peut pas nous épargner les évènements désagréables. J’ai toutefois remarqué qu’on peut ressentir une situation de façon différente selon le regard qu’on porte sur elle. Lorsqu’on l’accepte comme une expérience, même désagréable, sans vouloir à tout prix la contrôler, elle devient moins pesante.
    Concernant les pensées, prendre l’habitude de repérer le positif des situations aide à transformer progressivement notre mode de pensées : plutôt que de voir ce qui ne va pas, on perçoit d’emblée ce qui est utile, agréable, intéressant quelque soit la situation. Bien entendu ça prend du temps, et de l’énergie au départ. La patience et la persévérance sont de mise.
    Dire « la vie est belle » n’a d’intérêt que si on le pense et si on l’éprouve réellement, et seulement alors notre vie peut être belle.
    Le célibat vous pèse, commencez par voir l’aspect positif, tout ce que cela vous permet de vivre. Accepter ce qui est, sans lutter contre, permet de passer à autre chose.
    Ceci n’est que mon point de vue.
    Prenez soin de vous.
    Mary

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  • David Avr 16, 2016

    Merci Mary pour votre message.
    Cela fait chaud au coeur de recevoir des conseils pour changer son point de vue, et sa tournure d’esprit, et donc in fine, sa vie.
    Un des côtés positifs de cette situation désagréable, c’est qu’elle m’apprend à faire le tri dans les personnes ayant eu une influence sur mes pensées. J’apprends de plus en plus à me défaire de certaines personnes avec qui je restais, peut-être de peur de ne pas avoir d’autres amis avec qui rester. Le proverbe : mieux vaut être seul que mal accompagné est tellement vrai.
    Et au contraire, je suis amené à réveiller d’anciens contacts avec d’autres personnes , bien plus sages, et qui me font davantage progresser.

    Les pensées ont réellement un impact sur la santé, je le sens personnellement.
    Quand on n’a pas compris cela, on s’imagine avoir les pires maladies (cancer, sidas…) alors que dans beaucoup de cas , c’est mental, et ça peut se transformer en maladies chroniques, si on change pas sa façon de penser.

    Oui, Mary, il est vraiment profitable, de se demander quelle est la chose positive de telle ou telle situation. Cela aussi, c’est quelque chose qui s’apprend, ça vaut vraiment le détour.
    Se dire que telle situation est un autre enseignement d’une grande profondeur.
    Je me nourris de vos paroles comme on boit un verre d’eau.

    Bien à vous

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    • Mary Mai 5, 2016

      Bonsoir,
      La semaine dernière j’ai eu la chance d’assister à une conférence d’ André Harvey. Ces propos font écho à ce que vous écrivez David. Il nous conseille de modifier certaines paroles comme « à cause de « par « grâce à » ce qui oblige à changer complètement notre regard sur les évènements ou les personnes. C’est également le moyen de modifier les pensées et les rendre positives. C’est amusant de l’expérimenter et de voire la réaction des personnes autour de soi. Je suis d’accord avec vous nos pensées influent sur notre santé, puisqu’elles influencent nos émotions. Il suffit de penser à quelque chose de drôle pour se mettre en joie, et automatiquement se sentir bien.
      Amusez vous bien !!!
      Mary

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  • raphael Oct 3, 2016

    il est claire que moi je decouvre les différentes peurs qui m’habitent et je suis plus resolu a en mettre fin. cependant je reste coincer par l’ignorance des méthodes concrètes et rapides. doit ton simplement se lancer et foncer, ou doit on prendre le temps de mediter une action dans ce sens?

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    • Mary Oct 5, 2016

      A chacun de trouver les outils qui lui sont les plus adaptés. Les fleurs de Bach ont été pour moi très aidantes (et le sont toujours), elles m’ont permis d’oser agir différemment et de gagner en confiance. L’EFT m’a aussi aidé, même si je l’ai pratiqué peu de temps, ça m’a aidé à me détendre. je l’applique encore un peu mais plus rarement. Aujourd’hui je suis plus tournée vers la méditation. C’est un travail permanent que de vouloir dépasser ses peurs, surtout que des situations nous arrivent régulièrement comme pour tester notre évolution. Le jour où je n’ai pas ressenti de peur dans une situation qui en créait habituellement, je me suis félicitée d’avoir franchi une belle étape.
      Courage, Raphaël, la persévérance est payante.
      Mary

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